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Premier baiser
Erik est trop alcoolisé pour se rendre compte de ce qu’il se passe réellement. Il est d’ailleurs bien content que ce soit Mike qui conduise. Le restaurant étant quasiment vide, ils se décident à lever le camp. Déborah frissonne, on a beau être fin juillet, en bord de mer, il fait frais la nuit.
Mike lui attrape l’épaule et la serre contre lui, elle voudrait s’éloigner, mais la chaleur de cet homme lui fait du bien et vu l’état d’Erik ce serait plutôt elle qui le soutiendrait. Elle ne lui en veut pas, il a toujours comme cela, il sait qu’il ne tient pas l’alcool mais emporté par l’ambiance, il se laisse souvent entraîner. Souvent, elle a dû l’aider à rentrer et à se coucher mais elle est amoureuse,
Pendant la marche, la main de Mike descend de l’épaule de Déborah sur sa hanche mais il ne la descend pas plus bas. Ce n’est pourtant pas l’envie qui lui manque de palper la fermeté de ce cul.
Déborah regrette presque d’arriver à la voiture tant la balade l’a bercée. Elle en avait même presque posé sa tête sur l’épaule du grand gaillard noir, se retenant au dernier moment.
Avec un peu de mal, ils chargent Erik à l’arrière. Mike démarre le moteur vrombissant, et roule au ralenti à travers la ville.
— C’était cool cette soirée, non?
— Oui sympa! Merci! Mais fallait pas tout payer.
— Ça me fait plaisir de passer une soirée avec une fille aussi belle que toi. C’est ma façon de vous remercier pour ce bon moment.
Déborah se tait et se laisse bercer par la voiture. Mike passe les vitesses et laisse trainer ses doigts contre le genoux de Déborah. Elle sent le frôlement mais n’a pas l’énergie de repousser Mike, faire la conversation est déjà bien suffisant. Voyant qu’elle l’accepte, Mike s’aventure en posant sa main de façon plus claire.
Durant tout le trajet, la main de Mike remonte progressivement sur la cuisse de Déborah sans que celle-ci ne n’oppose une quelconque résistance.
— Il est tôt, ça vous tente un petit tour sur la plage avant d’aller se coucher?
— Erik est mort, je crois qu’on va plutôt aller se coucher, mais merci.
— Je peux t’aider à le coucher et on peut y aller tous les deux.
— Je ne suis pas sûre que ce soit une bonne idée.
— Pourquoi? Tu préfères porter ce poids mort toute seule.
— Euh non, répond-elle en réalisant qu’Erik pèse facilement quatre-vingt kilos. D’accord, aide-moi!
A deux, ils extraient le corps inerte du grand blond et le déposent sur le lit tout habillé. Déborah regarde son mari qui a à peine réagit à son transport et ronfle déjà.
— J’ai fait ma part, maintenant fais la tienne, on va à la plage!
— Pff, bon ok…
Elle se dit que l’air de la mer va aussi la dégriser un peu.
— Super! Je passe dans mon bungalow prendre une serviette. Viens!
Sans hésiter, il lui attrape la main et l’entraîne vers son bungalow. Elle est un peu surprise, pourquoi une serviette? Peut-être pour ne pas salir les vêtements en s’asseyant sur le sable!
Il n’insiste pas quand elle lui dit qu’elle préfère l’attendre à la porte de son bungalow. Il sort avec sa serviette autour du cou, en short et torse nu. Déborah est impressionnée par sa musculature. Erik est bien foutu mais longiligne. Mike est une armoire aux abdos et aux pectoraux saillants. Elle se surprend à le penser beau mec. Ils descendent l’escalier qui descend au bord de l’océan.
Arrivés en bas, ils se déchaussent avant d’affronter le sable. Ses Adidas à la main, Déborah un peu frileuse se laisse emmener sous le bras musclé du beau black. Au borde de la mer, ils la regardent deux secondes avant que Mike retire son short sans aucune pudeur et se retrouve entièrement nu :
— Tu fais quoi?
— Je vais prendre un bain de minuit! Et là tradition du bain de minuit, c’est de se baigner à poil…
— Euh non, merci pas pour moi! Je me caille déjà ici, l’eau doit être glacée….
— Comme tu veux, Déb’! Mais moi j’y vais!
A la lumière de la lune, Déborah aperçoit le sexe du noir. Elle a peu d’éléments de comparaison à part Erik, mais ce membre lui paraît énorme. Il ne semble pas être en érection mais il est déjà largement plus gros qu’Erik en pleine action. Elle a un frisson en se demandant comment une fille peut accueillir un tel engin.
— Alors tu viens? Ou tu mates?
— Je préfère rester ici… vas-y si tu veux!
Mike lui tend son short et sa serviette puis se dirige vers l’eau. Il trempe ses orteils dans l’eau fraîche et n’hésite pas à faire deux pas en avant avant de plonger dans l’eau. Il nage sur quelques mètres avant de sortir. A nouveau Déborah contemple le corps musclé et le membre énorme de Mike, l’eau n’a eu aucun effet.
—Tu as eu tort, ça fait du bien.
— T’inquiète pas pour moi, j’ai regardé la mer.
— Tu parles! T’as surtout mater ma bite…
— Pas du tout!
— Ahahha, mouais, je ne crois pas…
Il se ressuie grossièrement et remet son short.
— Viens là si tu as froid.
Déborah se retrouve à nouveau collée au black à la peau toute fraîche.
Il la serre contre lui, elle peut Dikmen travesti sentir le membre contre son ventre. Il approche son visage pour l’embrasser. Elle détourne la tête.
— Non steplait … je suis mariée!
— Pff! T’es pas marrante comme fille, il est bourré, il pionce, il en saura rien…
— Oui, mais quand même…
— D’accord mais j’ai droit à un bisou? Dit-il en tendant la joue.
— Tu fais chier!
— Allez..
— Bon d’accord, mais tu me lâches après!
Déborah pose ses lèvres sur la joue du black qui d’une main ferme au creux des reins la plaque contre lui.
— Tu vois quand tu veux tu peux être gentille!
Cette remarque énerve encore plus Déborah, mais qu’est ce que ce mec est “beau”, pas un gramme de graisse et harmonieusement musclé, pas comme certains bodybuildeurs, pas de gonflette. Il la guide dans les escaliers et la raccompagne à son bungalow.
— Demain huit heures pour aller courir! OK.
Elle se souvient qu’ils en avait parlé pendant le repas et ils lui avaient promis de venir courir avec lui.
— Euh…
— Une promesse est une promesse!
— OK, mais huit heures trente plutôt?
— Va pour huit heures trente, poupée… allez file te coucher!
En lui disant cela, il la pousse dans son bungalow d’une claque sur les fesses. Déborah est trop fatiguée pour réagir.
Elle retire sa robe et se glisse juste avec son tanga sous la couette ou Erik ronfle toujours, habillé.
***
De retour à son bungalow, Mike se demande s’il va redescendre en ville. La petite polonaise va finir son service. Il aime l’entendre gueuler quand il l’enculé. Il faut qu’il pense à lui offrir du boulot à la fin de la saison. Mais il doit être raisonnable, Déb’ est prioritaire!
“Faut que je garde du jus pour lui repeindre la face à cette petite pute…”
Il prend une bonne douche et avant de se coucher, il envoie le selfie sur la plage à un de ses lieutenants avec le nom de Déb’. “une future recrue, renseigne toi sur elle!”
***
Dans son lit, le réveil sort Déborah de son sommeil. Elle est en transpiration, elle a rêvé de Mike. Elle sort, chancelante, du lit pour passer sous la douche. Quelle idée d’avoir promis ce jogging! Elle regarde Erik qui ronfle toujours.
Elle le secoué.
— Erik réveille-toi, c’est l’heure!
— hein… quoi…?
— on doit aller courir avec Mike
— Ah oui! Oh non… vas-y toute seule… j’ai trop mal au crâne!
— Allez me laisse pas toute seule avec ce mec ste plait
— Il va pas te manger…
Erik se lève, fait trois pas et se précipite sur la cuvette des WC pour vomir.
— OK je vois! Bon j’y vais…
“Putain, c’est pas possible, c’est toujours pareil, il sait pas boire!”
Elle ne prend pas la peine de se doucher, elle ira se doucher en rentrant. Elle enfile une brassière de sport rose et un legging noir sur son tanga de la veille.
Mike est derrière la porte, il frappe comme un malade.
— Ça va! J’arrive!
Une queue de cheval vite fait et elle ouvre et se retrouve nez à nez avec le grand blanc en débardeur moulant ses pectoraux et un short qui révèle le reste.
Mike reste quelques secondes ébloui par ce qu’il voit. Elle est vraiment canon, il l’avait bien vu sur la plage. Son ventre parfaitement plat et dénudé laisse apparaître un joli piercing en strass.
— on y va! dit -elle, pressée d’en finir.
Elle se penche pour enfiler ses Adidas. Au-dessus d’elle, Mike voit son dos et ses fesses.
Il admire à nouveau son petit tatouage sur l’omoplate, un joli petit cœur tout rouge.
“piercing, tatoos, elle a du potentiel la petite…”
Ils sortent du camping ensemble à petite foulée.
— On va où?
— Tiens on prend le chemin des dunes, c’est tout droit.
— Ok.
Malgré son entraînement régulier, Déborah a les jambes lourdes. Le manque de sommeil et l’alcool se font sentir. Elle est déjà en manque de souffle, pourtant Mike ne prend pas le relais, il fait bien en sorte de courir derrière elle. Il se délecte, son joli cul, sa taille fine, elle le fait bander.
— Mike, tu peux passer devant, je suis naze!
— Non, d’où je suis la vue est trop belle…
Déborah comprend l’allusion, il imagine ses yeux sur ses fesses. Quel porc ce mec, pourtant, elle ressent une petite sensation d’excitation malsaine.
Elle se demande même si elle n’aurait pas dû ne rien mettre sous le legging, il doit voir la marque du tanga. Mais, là elle n’en peut plus. Il lui faut une pause. L’apparition soudaine d’un espace avec des agrès lui permet de s’arrêter. Mike voit une barre de tractions et s’y accroche. Elle le regarde faire les main appuyées sur ses genoux. Il est costaud quand même, cela fait une demi-heure qu’ils courent et il est encore capable de faire des tractions.
Il saute vers elle en souriant.
— Allez poupée à ton tour de me montrer ce que tu es capable de faire!
Déborah se présente sous les barres, elle saute un peu pour les attraper mais après la course elle est trop fatiguée pour se soulever. Dikmen travestileri Elle sent alors Mike arriver derrière elle et la prendre par la taille pour la faire monter. Comme la veille au soir, elle sent la fermeté de ses mains sur son corps.
Électrisée par le contact, elle se laisse volontiers manipuler.
“Putain, je devrais pas, Erik…, il n’avait qu’à moins picoler, c’est de sa faute après tout”.
Un petit truc vient de se fissurer dans sa carapace. Inconsciemment, elle vient de décider d’arrêter de combattre les initiatives du beau black. Après trois fausses tractions, Mike la fait redescendre en douceur. Déborah est impressionnée par sa puissance, elle se fait porter comme une plume. Un tel mec, c’est enivrant.
Retombée au sol, elle sent Mike collée contre elle. Ses mains restent sur ses hanches, fermes ; elle ne peut se libérer et sent une énorme bosse contre ses fesses.
— Alors il est costaud comme moi ton mec?
— Bien sûr que non, mais les muscles ça fait pas tout. Tu dois être souple comme un bout de bois avec tes biscotos, se moque-t-elle.
— Tu rigoles?
Enfin il la lâche et lui prouve sa souplesse en touchant ses pieds, jambes tendues.
— T’as vu? fais-en autant. Ahahah.
Bravache, Déborah pose les mains à plat sur le sol. Encore une fois, Mike matte son cul sans vergogne. La rousse l’a capté, mais ça commence à l’amuser et fait même durer la pose.
— On repart?
— Allez!
Elle prend un malin plaisir à se mettre devant lui afin qu’il puisse admirer son cul, elle commence à apprécier d’être matée ainsi. Elle n’a jamais eu honte de son corps mais elle n’a jamais non plus eu vraiment envie de s’exhiber mais avec Mike, c’est différent. Ils reprennent le chemin de l’hôtel. Le chemin est en descente et ils vont plus vite. Elle ose alors un sprint pour distancer Mike, celui-ci se prend au jeu et accélère. Il la dépose sur place. Fatiguée et dégoutée, Déborah s’arrête essoufflée :
— C’est pas du jeu!
Mike retourne au petit trot vers elle.
— Quoi?
— Pff, je voulais gagner, tu saoules, dit-elle dans un sourire s’essuyant le front transpirant.
— Tu ne gagneras jamais avec moi. Tu auras toujours perdu d’avance. Une petite blanche fait pas le poids devant un black, tu verras, se moque-t-il.
Déborah accepte le chambrage charmé par son sourire de bad boy. Devant sa réaction, il tente sa chance et la saisit par la taille. Surprise, elle le regarde, leur visage à quelques centimètres l’un de l’autre. Mike pose ses lèvres sur les siennes, elle fond, oubliant totalement son mari. Leurs langues se mélangent, elle enlace le cou massif du grand black et savoure le moment.
Quand ils terminent leur étreinte, ils se regardent . La jolie rousse baisse les yeux :
— Faut rentrer, Erik doit m’attendre…
— Tu as raison.
***
Ils traversent le domaine en marchant quand Mike lui propose de venir prendre sa douche avec lui dans son bungalow.
— Tu rêves! je t’ai laissé m’embrasser mais faut pas rêver non plus.
— Tu n’as pas accepté, tu as kiffé.
— Pfff, je viendrai pas sous la douche avec toi!
— Bientôt, Déb’, bientôt… On se retrouve au lodge pour le petit déj’
Il la laisse plantée et rentre dans son bungalow.
“Putain, mais je fais quoi moi? Je craque, c’est pas possible! Erik?!”
Horrifiée de son attitude, elle rentre rapidement à la recherche de son petit mari.
Quand elle entre dans le bungalow, il est encore sur le lit. Il n’émerge pas. il en a vraiment pris une bonne hier soir. Pourtant on dit que le champagne ne donne pas la gueule de bois le lendemain!
“Fait chier Erik!” lance-t-elle plus en colère contre elle que contre lui.
Elle prend une douche pour se rafraîchir les idées mais, en dépit de sa volonté, elle n’arrive pas à chasser Mike de son esprit. Elle repense à ses mains fermes sur ses hanches, son sexe contre son dos, ce baiser fougueux et intrusif. Elle s’essuie et entre nue dans la chambre où Erik sort lentement de son état comateux.
— Tu es belle ma chérie!
— Merci, mais tu devrais t’habiller, je vais prendre un brunch au lodge à l’accueil. Mike m’y attend!
— Qu’est ce tu cherches dans le sac? On avait pas tout ranger en arrivant?
— Non, pas mes sous-vêtements. Je sais pas trop quoi mettre.
— Mets un string!
— Sous ma jupe de tennis, t’es maboule.
— Mais non, personne regarde sous ta jupe que je sache. Ya que moi qui le saura et j’aime bien savoir ma petite femme un peu coquine.
Déborah sourit et repense aux allusions de Mike au restaurant.
— Bon! Ok, mon cochon, mais je fais un effort parce qu’on est vacances
Déborah exhibe avec fierté un string blanc qu’elle vient de trouver au fond du sac.
— Celui-là?
— Yes, magnifique!
La vision de sa femme nue qui s’habille sexy, décide Erik à se lever. Mais malgré ses efforts, il a dû mal à se tenir droit.
— Pars devant, je te rejoins dans quelques minutes.
Déborah finit de s’habiller, elle refait sa queue de cheval et Travesti dikmen enfile ses sneakers et se dirige vers le bar.
Mike est là. Comme la veille, il est l’élégance incarnée avec ce petit côté bad boy qui le rend irrésistible pour Déborah. Il est à côté du comptoir de l’accueil ou Steve se débat en anglais avec un client dont le vol a été annulé. Elle s’amuse en l’entendant expliquer au client dans un anglais maladroit qu’il ne peut rien faire et qu’il ne peut pas rester à l’hôtel plus longtemps. Il doit voir cela avec sa compagnie aérienne.
— Puis-je me permettre? demande-t-elle à Steve.
— Je vous en prie madame Simplon.
En quelques minutes, dans un anglais fluide, elle explique la situation au client qui accepte de quitter l’accueil, en maugréant.
— Je te l’avais dit que c’était une bombe cette poupée! dit Mike à Steve.
Pendant qu’elle parlait, Mike s’était rapprocher de la jeune femme et lui caressait les fesses sous la mini jupe, de manière à être vu par Steve. Gênée, Déborah repousse sa main plusieurs fois mais ne veut pas faire de scandale devant tout le monde.
— Et regarde ce cul! On a envie de la claquer, pas vrai!
Il soulève la jupe de Déborah une dernière fois, celle-ci se retourne et le fusille du regard.
— Allez! Viens poupée, on va manger! Le sport ça creuse!
Steve se demande de quel sport il peut bien parler même si les yeux brillants de la rousse laissent peu de place au doute.
Déborah hyper gênée des initiatives de Mike suit le grand black jusqu’à une table en terrasse.
— Déb’! La tenue, c’est parfait! La jupette, le string et les nichons libres sous le débardeur, je kiffe! mais les pompes! Tu n’as rien de mieux! Les Adidas, c’est bon pour courir, pas pour une vraie meuf!
— J’ai rien d’autre, c’est les vacances!
— Oui ben! Débrouille toi pour trouver des talons au moins dix voire douze centimètres rapidement!
— T’es dingue, ça fait pute!
— Je suis sûr que ton mec kifferait! Embrasse moi! Lui dit-il.
Mike avance son visage et Déborah, surprise, n’a pas le temps de le repousser. Il écrase ses lèvres sur les siennes et force sa bouche avec sa langue, tandis que son autre main se pose sur la cuisse de la jeune femme. Il vient de repérer Erik qui franchissait le seuil du lodge.
Le grand blond salué Steve a l’accueil et aperçoit Déborah et Mike attablés à l’autre bout de la terrasse. Soudain, il voit Mike approche son visage de celui de sa femme. Elle ne recule pas et même s’il ne voit pas bien, il est certain qu’ils s’embrassent avec fougue. Une boule naît au creux de son ventre ainsi qu’un mélange de jalousie et d’excitation. N’était-ce pas ce qu’il veut depuis longtemps? Mais il ne s’attendait pas à ce que sa Déborah cède aussi vite aux avances de Mike. Elle qui se dit fière et indépendante, qui ne succombe pas aux “charmes” de la virilité et du machisme, se laisse embrasser et tripoter par le type le plus misogyne qu’elle n’ait jamais rencontré depuis des années. Mike s’écarte juste avant l’arrivée d’Erik sur la terrasse. Il est certain que celui ci l’a vu rouler une pelle à sa femme.
Quand Déborah aperçoit Erik, elle se raidit sur sa chaise et tire sur sa jupe. Que va t il dire? Les a-t-il vu se galocher? Elle n’aurait pas dû? Qu’est ce qu’il lui a pris?
— Déb’ m’a dit que tu avais dégueulé ce matin! Ça va mieux?
— Oui oui! Après deux ou trois cafés et un bon petit dej’ dans le ventre ça devrait rouler! Mais faut plus que je boive comme ça…
— C’est les vacances! Tiens puisque tu es debout, si tu allais nous prendre les cafés et de quoi bouffer!
— OK Mike j’y vais!
Erik se dirige vers le buffet et rapporte ce qu’il faut pour trois.
Comme la veille au soir, Mike les abreuve d’anecdotes mais surtout, il les fait parler d’eux , de leur vie, de leur boulot. Sous les yeux de biches de la rousse.
Quand Il demande son 06 à Déborah, Erik lui propose le sien. il lui répond que celui de sa femme lui suffit et comme il sont en couplé, pas besoin des deux.
— Bon ce n’est pas que je m’ennuie avec vous, mais j’ai deux trois bricoles à régler pour les affaires, quand on est le boss, on n’est jamais vraiment en vacances!
— Oui Mike! Dit Déborah presque déçue de se retrouver seule avec son mari.
— Et vous allez faire quoi vous?
— Rien de prévu, c’est les vacances.
Erik, Emmène ta petite femme faire du shopping, dans le centre, ya un rue avec toutes les boutiques de marques. Sûr que Déb’ va kiffer. : shopping et déj’ en terrasse.
— Ouais, c’est une bonne idée. T’en penses quoi chérie?
— Mouais pourquoi pas.
— Au moins tu pourrais te trouver des talons de femme plutôt que tes baskets de petite fille et aussi un bikini string pour faire bronzer tes jolies fesses.
— Rêve…
Erik, t’as pas envie toi d’avoir une femme féminine et sexy? J’espère pour toi que c’est à cause des vacances qu’elle se laisse aller parce que franchement si t’as ça tout le temps, j’aurais le seum.
Erik sourit bêtement, ne sachant que rajouter alors que Déborah le regarde méchamment mi-insultée mi–vexée.
— C’est bon je suis pas une poupée qu’on habille en salope, je fais ce que je veux.
— C’est sûr, si t’as pas envie d’être séduisante pour le mec qui te fait mouiller, t’as le droit. Allez , moi je me casse, on se retrouve à 14h à la plage.
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